Les traités de paix et d’amitié n’obligeaient pas les Mi’gmaq à renoncer à leurs droits aux terres qu’ils occupaient et aux ressources qu’ils utilisaient traditionnellement.
Depuis les premiers contacts avec les colons dans les années 1700, les enjeux qui constituaient la base des négociations entre les Mi’gmaq et les colons portaient sur la relation entre le L’nu (mi’gmaq) de Gespe’gewa’gi et les colons. Les « traités de paix et d’amitié » figuraient parmi les premières séries d’accords officiels entre ces deux groupes.
Nous n’avons pas renoncé à notre souveraineté ou à notre territoire. Nous avons négocié la paix.